Vue d'ensemble de toute la transmission du vélo de route en Shimano 105

Braquet vélo, pignon, développement : Le décryptage facile !

Ça vous est déjà arrivé qu’on vous dise que vous roulez avec un braquet vélo trop gros ou trop petit ? Qu’on vous conseille de passer sur le petit pignon sans comprendre de quoi on vous parle… dur quand on débute en cyclisme ou qu’on n’a pas les connaissances des pros. Et oui, le monde cycliste a son jargon obscur quand il est question de développement vélo, pignons, plateaux, braquets… 

Quel développement utiliser sur un parcours plat ou pour monter une côte ? Qu’entend-on par rouler sur la plaque ? Vous avez envie de trouver le bon développement vélo du premier coup pour arrêter de vous faire chambrer par les potes ? Je vais vous aider ! Partons à la découverte de tous les termes de cyclisme concernant les braquets vélo et développements cyclistes. Mon objectif : démystifier ce langage cycliste, sans prise de tête !

C’est quoi un braquet en vélo ? Le lexique pour tout comprendre

Une bicyclette a besoin d’un certain nombre de mécanismes pour avancer… Voici un tour d’horizon de tous les systèmes intervenant dans la transmission d’un vélo.

Le plateau : le disque cranté à l’avant du pédalier

On appelle plateau la grande roue crantée qui se situe au niveau des pédales. Le plateau fait ainsi le lien entre ces dernières et la chaîne. Grâce à la force de votre pédalage, le plateau entraîne la chaîne passant par ses dents.

Le nombre de dents diffère selon la taille des plateaux. Ceux-ci comportent la plupart du temps entre 30 et 52 dents.

La règle, c’est que le disque cranté le plus petit, donc avec le nombre de dents le plus faible, se situe toujours côté cadre.

À vitesse égale, un grand plateau permet de pédaler plus dur, avec une cadence plus faible. A contrario, un petit plateau permet de pédaler plus facilement, mais on doit alors augmenter sa fréquence de pédalage.

Zoom sur le dérailleur Shimano avant avec ses plateaux

Le monoplateau : simplicité et poids plume, idéal en terrain technique

Ici, vous pédalez avec un seul plateau qui allège encore plus votre monture. D’ailleurs, le cyclocross a adopté ce type de pédalier. Le mono plateau est une configuration qui s’est déployée initialement dans le milieu VTT. Vous avez beaucoup moins de développements à votre portée, à pignons équivalents.

Le plateau comporte de 38 à 46 dents. On trouve ce type de plateau sur des gravels, les cyclocross, tout comme sur les bicyclettes de ville. Il arrive aussi sur certains vélo de route !

Lire aussi : je passe mon cyclocross du double plateau au monoplateau

Un mono plateau GRX de 42 dents

Le double plateau (hors compact) : la configuration des vélos de route

Dans la version double plateau, votre vélo comporte 2 plateaux de tailles différentes. Lorsque vous achetez un vélo de route neuf, celui-ci est souvent équipé d’un ensemble de plateaux en 53/39 (53 dents pour le grand plateau et 39 dents pour le petit) ou 53/38. 

Mais rien ne vous empêche d’en changer pour l’adapter à votre pratique : les avions partiront plutôt sur du 52/42 et les montagnards sur du 50/38. 

Vous utilisez le grand plateau sur le plat. Le petit disque est indispensable quand le profil du terrain devient accidenté. 

Un dernier point : ne cherchez pas de petit plateau à moins de 38 dents sur un pédalier à double plateau standard, cela n’existe pas.

Les plateaux compacts : un bon compromis

On trouve des doubles plateaux compacts autorisant des petits plateaux inférieurs à 38 dents, contrairement au standard. Avec l’assemblage d’un compact, vous obtenez des développements équivalents à un triple plateau, sans l’inconvénient du poids.

2 catégories de pédaliers compacts Shimano ou Campagnolo sont montées en série par les fabricants de vélos :

  • mid compact en 52/36
  • compact en 50/34
  • pour les costauds en 53/39

À noter que les pédaliers compacts Sram existent en 46/33, 48/35 ou 50/37. On commence à voir des gravels équipés d’un Shimano GRX en 46/30.

Les plateaux compacts équipent les vélos de route ou les gravels.

Le triple plateau : en voie de disparition

Lorsque vous roulez en triple plateau, vous disposez d’un grand nombre de développements. Généralement, les triples plateaux se prêtent parfaitement aux coureurs ayant besoin de plus d’aisance ou aux cyclotouristes parcourant de longues distances sur des terrains vallonnés.

Dans ce cas, le système comporte :

  • un petit plateau de 30 dents ; 
  • un intermédiaire de 38 ou 40 dents ;
  • un grand comportant 48, 50 ou 52 dents. 

Vous aurez alors un plateau avec des combinaisons diverses, comme 52/40/30 ou 48/38/30 par exemple.

Les vélos de route possédant 3 plateaux ont toutefois tendance à disparaître. Les fabricants étant toujours à la recherche de l’allègement des bécanes, les cycles de course voient leur 3e plateau éliminé. C’est d’autant plus le cas aujourd’hui depuis l’apparition des pédaliers compacts et des cassettes à 11 ou 12 vitesses. 

Le pignon : un disque à dents lié à la roue arrière

Quand on parle braquet chez les cyclos, on pense aussi aux pignons. Un pignon reprend le même principe qu’un plateau, mais au niveau de la roue arrière. Il s’agit donc d’un disque à dents faisant tourner la roue grâce à la chaîne qui passe dans ses crans.

Un pignon arrière pour la transmission d'un fixie

Ici aussi, vous trouvez des disques de diamètres différents, et donc avec un nombre de dents compris entre 11 et 30 dents (départ à 10 chez Sram). 

Quel est l’intérêt d’avoir plus de dents sur un pignon ? Vous fournissez moins d’effort pour faire tourner la roue… 

En effet, quand le pignon est 2 fois plus grand que le plateau, un seul coup de pédale permet à la roue de réaliser la moitié du tour. Vous allez donc mouliner plus. 

À l’inverse, quand le pignon est 2 fois plus petit, un tour de pédale fait tourner le pignon, et donc la roue, 2 fois. Donc, plus le pignon est de petite taille, plus la distance parcourue par un tour de roue est importante. Cette configuration va demander plus de puissance de pédalage.

Lire aussi : le phénomène urbain du fixie (pignon fixe)

La cassette : l’ensemble de pignons

On appelle cassette l’ensemble des pignons situés au niveau arrière. La cassette comporte des disques de tailles différentes. 
Dans ce cas, le placement est à l’inverse du plateau : le disque le plus grand du pignon se place contre la roue, c’est celui qui demande plus d’effort. 

On compte entre 7 et 12 pignons dans une cassette, chaque disque correspondant à une vitesse.

Lubrification de la chaine avec une huile

Attention, plus le nombre de pignons est important, plus la chaîne est sollicitée. Avec un pédalier mono plateau, on trouve à présent des cassettes à 11 ou 12 vitesses (c’est-à-dire avec 11 ou 12 pignons) pour obtenir un grand nombre de développements. Ces modules comportent alors une grande amplitude, telle que 11/50 (10/52 chez Sram).

Comment reconnaît-on une cassette vélo ? C’est le nombre de dents des pignons extrêmes qui détermine la catégorie de cassette. Quand on parle d’une cassette 12/25, c’est que le petit pignon extérieur comprend 12 dents et que le grand pignon à l’intérieur possède 25 dents. Ces pignons extrêmes sont désignés sous le nom de denture.

Avec une transmission en mono plateau, les cassettes se remarquent vite avec leurs 50 dents :

Enorme cassette avec 50 dents

Les dents pour faire tourner la chaîne

Ce sont les systèmes d’accroche sur les plateaux ou pignons permettant à la chaîne de diffuser le mouvement des pédales. Plus les disques sont grands, plus ils comportent de dents (logique !).

La chaîne pour suivre le mouvement

La chaîne fait donc le lien entre les plateaux et les pignons. Elle reproduit le mouvement des pédales en se fixant dans les cannelures des disques. La chaîne transmet ainsi la vitesse de rotation à la roue arrière, appelée aussi roue motrice.
Élément très exposé, une chaîne s’use rapidement, donc elle se renouvelle en moyenne tous les 5000 km.

Lire aussi : Changer la transmission complète du vélo

Le dérailleur pour changer de vitesse

Un dérailleur est un dispositif permettant de changer de vitesse. Ce système permet de soulever la chaîne et de la repositionner sur le pignon adapté. Le changement se réalise toujours en haut ou en bas de la denture.

En fait, il existe un dérailleur avant et un arrière. Le dispositif avant permet de changer de vitesse tout en s’aidant de la tension de la chaîne due au pédalage. Avec le dérailleur avant, vous pouvez passer du petit plateau au grand plateau ou l’inverse. Le dérailleur avant se pilote par le câble depuis le levier ou la poignée gauche situé sur le guidon.

Quant au dérailleur arrière, il actionne un ressort permettant de tendre la chaîne, et ainsi éviter que la chaîne ne prenne une mauvaise direction. Le dérailleur arrière fait varier la puissance aux pignons. Pour y parvenir, actionnez le levier ou la poignée droite sur le cintre.

Le pédalier : l’avant de la transmission

On nomme pédalier l’ensemble des éléments composant la transmission du vélo. Un pédalier comprend les manivelles situées entre les pédales et l’axe du pédalier, la fixation des plateaux comprenant des étoiles à 4 à 5 branches, les plateaux et l’axe traversant du pédalier, appelé boitier de pédalier.

Le groupe ou la transmission vélo : les modules complets

La composition d’un groupe complet comprend un certain nombre de composants, tels que :

  • pédalier ;
  • boitier de pédalier ;
  • chaîne ;
  • leviers de vitesse ;
  • dérailleurs (avant et arrière) ;
  • cassette ;
  • manettes. 

Les groupes sont exclusivement conçus par Shimano, Sram et Campagnolo. Vous trouvez à présent des transmissions mécaniques ou électriques/électroniques.

Lire aussi : Découvrez la hiérarchie des groupes de transmission vélo

Zoom sur la cassette et dérailleur arrière SRAM

Comment trouver le bon braquet ?

Maintenant que vous maîtrisez les bases, on va rentrer dans le vif du sujet.

Le braquet vélo : comprendre le rapport plateau/pignon

Un braquet correspond au nombre de dents des 2 disques (plateau et pignon) sur lesquels la chaîne se positionne. Le premier chiffre correspond au décompte des dents du plateau, le second donne la même info pour les dents du pignon.

Voici une formule pour faciliter la mémorisation :

Braquet = NB de dents plateau / NB de dents pignon

Votre pote cyclo fait le malin, car il a roulé en « 50×11 » ? Cela veut simplement dire qu’il a roulé avec un plateau à 50 dents et un pignon à 11 dents.
Finalement, pas de quoi flamber présenté comme ça ! Enfin oui quand même, car c’est un rapport balèze !

Le développement vélo : définir la distance parcourue en un tour de pédale

Quand on parle de développement, on calcule la distance parcourue avec un tour complet de pédales pour un braquet donné. Si vous voulez faire le calcul avec votre matériel, vous pouvez utiliser le simulateur de calcul de développement vélo conçu par Bicycle Gear Calculator.

Cet outil est très précis et permet de définir le développement du vélo selon votre cadence de pédalage et la circonférence de la roue (en indiquant la taille comme 700x23C, le logiciel vous indique une circonférence de 2,133 m). Sachez que le développeur a décliné le système de calcul au sein d’une application IOS ou Android du même nom. La version de base est gratuite, en anglais, mais on peut comprendre facilement le paramétrage. 

Si vous aimez les formules :

Développement (en m/tr) = circonférence de la roue x braquet

La facilité de pédalage : trouver sa cadence ou tour par minute

Pour trouver le bon braquet, vous devez aussi partir de la fréquence de pédalage. Si vous voulez pédaler facilement en randonnée sur du plat, vous allez partir sur une fréquence moyenne qui vous permet d’avancer sans vous fatiguer. C’est le cas avec des cadences de pédalage standard se situant vers les 80-85 tours par minute. En montée, visez plutôt 50 à 65 tr/m.

Plus votre cadence est basse, plus vous forcez. C’est par exemple le cas si vous roulez avec le vent de face ou si vous attaquez un fort dénivelé. Dans ce cas, il vous faut fournir plus d’effort et vous ne pouvez pas tenir le rythme sur une longue durée.

Il en est de même si vous « moulinez » trop, c’est-à-dire si vous tournez trop les jambes dans la minute. Une rotation par minute (rpm) de 120 n’est pas facile à maintenir longtemps.

Sur Home trainer avec Zwift, certains exercices vous imposent différentes cadences pour vous habituer.
Ci-dessous, je dois me mettre à 80, 90 voir 110 tours par minutes :

C’est la raison pour laquelle, vous devez déterminer votre braquet en fonction de la fréquence de pédalage et du niveau de difficultés auxquelles vous pouvez être confronté. Ces données doivent rester cohérentes avec les seuils de votre fréquence cardiaque.

Vous devez pédaler en gardant une aisance de pédalage, sans vous mettre dans le rouge.

Adapter son effort avec le changement de vitesse 

Lorsque vous changez de vitesse, vous modifiez les rapports entre le plateau et les pignons. Autrement dit, vous faites passer la chaîne sur un pignon différent ou sur l’autre plateau. Cette manœuvre intervient lorsque l’effort devient trop difficile ou trop facile. Cela permet de maintenir un effort régulier.

Vous changerez plus facilement les pignons que les plateaux. De même, il est plus facile de descendre les vitesses pour gagner en aisance, en montant sur des pignons plus hauts.

Enfin, le changement de vitesse s’anticipe avant une montée. Si vous êtes sur un trop gros développement en pleine côte, les changements de plateaux ou de pignons s’effectuent difficilement en raison de la tension de la chaîne. Vous devez libérer la tension de la chaîne le temps du changement de vitesse, donc avant d’attaquer la montée.

Une règle absolue pour ménager votre chaîne : on évite les rapports contradictoires petit plateau/petit pignon ou grand plateau/grand pignon.
L’angle entre la chaîne et les dents des disques est trop important, il faut donc éviter un trop grand croisement de chaîne. Vous savez, la vitesse la plus basse en petit plateau ou la plus haute sur le grand plateau…

Cela s’appelle « croiser la chaine » et ça n’est pas le plus efficace.

Contre-exemple !

Il est parfois plus rentable de croiser la chaine pour finir une montée qu’on aurait aborder sur le 2ème plateau (car on est trop optimiste) plutôt que de passer sur le petit plateau tout en jouant avec les vitesses : on peut ainsi perdre moins de temps !

Me voici à l’assaut du Mont Ventoux virtuel sur Zwift et sur cette étape, on change beaucoup, beaucoup, beaucoup de fois les vitesses :

Quelles sont les expressions des cyclistes en rapport avec un braquet vélo ?

Maintenant que vous avez compris comment fonctionne le système des braquets en vélo, vous allez pouvoir vous faire mousser auprès de vos potes ou de votre mari (et oui mesdames, si vous voulez épater votre cher et tendre, c’est le moment…).

Voici un glossaire des expressions correspondant aux changements de vitesse ou aux braquets.

Rouler en grand braquet ou petit braquet

On appelle grand braquet, la configuration permettant de parcourir une distance plus longue en un tour de pédales. Avec un double plateau, lors d’une sortie sur du plat, vous pouvez rouler sur le grand plateau. Vous modulez alors votre vitesse en changeant les pignons.

Si vous partez sur un petit pignon, vous roulerez plus vite et vice-versa.

Par exemple, si on prend un plateau de 53 dents associé à un pignon de 12, vous parcourez 9,30 mètres. C’est ce qu’on appelle un grand braquet. Ce scénario se prête bien aux rouleurs ultras puissants, aux sprinteurs… 

En revanche, si on part sur un rapport plateau 39 dents et pignon 24 dents (39×24), vous parcourez 3,43 mètres. Là, vous avancez progressivement lors de difficultés, dans une montée raide ou dans des cols par exemple. Vous roulez ainsi avec un petit braquet.

Un cycliste qui descend un col à pleine vitesse

Les termes désignant les braquets de force 

Quand on parle des gros développements, on entend couramment :

  • Grand braquet / gros braquet : un grand rapport entre plateau et pignon qui permet de réaliser plus de distance en un tour de pédale (cf. mon exemple du 53×12 qui permet d’avancer de 9,30 m en un tour de pédalier). Vous allez avancer plus rapidement, vos cuisses seront en surchauffe…  
  • Mettre du braquet : trouver le rapport permettant de parcourir plus de distance avec son pédalage : passer sur le grand plateau ou sur le petit pignon.
  • Monter sur la plaque / mettre la plaque : Passer sur le grand plateau. 
  • Mettre la grande soucoupe : idem, passer le grand plateau
  • Mettre tout à droite : Pédaler avec un grand plateau/petit pignon, c’est-à-dire avec les disques à l’opposé du cadre. Ce rapport permet de forcer plus, donc si vous voulez aller vite ou en descente. 
  • Emmener un énorme braquet : idem que tout à droite.
  • Emmener gros : idem que tout à droite.
  • Descendre les dents : Idem que mettre tout à droite, permet de forcer plus.

Les expressions pour gagner de l’aisance 

Vous voulez faciliter votre pédalage, retenez alors ces informations :

  • Petit braquet : le petit rapport plateau/pignon qui fait avancer sur de courtes distances, un 39×24 vous mène 3,43 m plus loin… Vous allez mouliner ! Votre rythme cardiaque et votre respiration vont augmenter…
  • Mettre un braquet d’asthmatique : mettre un tout petit braquet.
  • Mettre tout à gauche : Rouler avec un rapport petit plateau/grand pignon, les disques situés près du cadre. Ce rapport permet de gagner en aisance. Vous allez entendre cette consigne plutôt en montée.
  • Monter les dents : Idem que mettre tout à gauche, vous pédalez plus facilement.
  • Mettre petit : idem, vous tournez les jambes de façon rapide. 
  • Tourner les jambes : avancer avec aisance, de façon à décontracter les muscles
  • Mouliner : quand vous restez sur un trop petit développement et que vos jambes tournent trop vite
  • Tricoter : idem que mouliner.

Finalement, changer de braquet vélo selon son parcours ou ses capacités reprend toujours la même logique. Tout dépend si vous voulez pédaler dans le dur ou avec aisance : vous pouvez alors jouer du braquet pour trouver le développement idéal. Un braquet vélo sollicitant les disques côté-cadre vous fait avancer moins vite, mais plus facilement tandis que ceux situés vers l’extérieur vous font rouler plus vite, tout en puissance.

J’espère ainsi vous avoir donné des bases aisément mémorisables.
Ce type de dossier vous plait ? Vous avez envie que je traite d’un thème particulier ? Inscrivez alors les sujets de vos choix dans la zone des commentaires. Je vous aiderai à décoder le langage secret technique des cyclistes.

2 réflexions sur “Braquet vélo, pignon, développement : Le décryptage facile !”

  1. euh pour les pignons, le plus grand nombre de dents donne un braquet plus petit – donc ne serait ce pas une erreur

    ds le chapitre ; La cassette : l’ensemble de pignons

    Dans ce cas, le placement est à l’inverse du plateau : le disque le plus grand du pignon se place contre la roue, c’est celui qui demande plus d’effort.

    bien à vous
    cette page est bien utile – je dois changer mon shimano et j’essaye de comprendre ce qui me conviendra

    merci d’avance

  2. merci pour les eclaircissements, j’ai choisi un velo decathlon riverside 700 avec 10 pignons de 11 dents à 40 dents et un mono-plateau de 36 dents, la notion de croisement de chaine doit elle s’appliquer pour respecter mon materiel , j’imagine que le monoplateau est centré en alignement au milieu de la cassette de 10 pignons (5 ème ou 6 ème pignon), la contrainte sur la chaine est sans doute moindre qu’en croisement chaine sur double plateau, qu’en pensez vous,
    encore merci, très utile votre page technique.

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